lundi 11 février 2008

Chenini, le dernier bastion de la Tunisie autochtone.

















Perché dans les flans rocheux des montagnes dans le Sud Tunisien , ces derniers villages berbères se vident de leurs populations.

L’attrait des villes et de leurs conforts aidant , les nouvelles générations s’installent définitivement autour de la métropole tunisienne principalement . Récit en photo d’un monde agonisant .

lundi 28 janvier 2008

La Médina de Tunis

Une vidéo trés bien réussie ..



*Musique signé Anouar Brahem .

vendredi 21 décembre 2007

mardi 26 juin 2007

Thugga













Le site de Dougga est le mieux conservé, le plus complet et l’un des plus célèbres de Tunisie. Dougga est située à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Tunis, à 8 km de Téboursouk, sur un plateau qui domine la vallée de l’oued Khalled. Thugga, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, offre des ruines très spectaculaires sur 70 hectares (un quart a été fouillé) et une richesse épigraphique unique en Afrique.
La cité numide
Cette cité numide, sujette de Carthage au moins depuis la première guerre punique et conquise au milieu du IIème siècle av JC. devient la résidence royale de Massinissa, dont un sanctuaire commémore la mémoire sur l’agora de la cité. Alliée à Rome, elle ne tombe pas sous sa domination après la chute de Carthage en 146 av JC., et demeure pendant encore un siècle hors de la province d’Africa, jusqu’à ce que César l’intègre avec les royaumes numides à l’Africa Nova en 46 av JC.
La ville romaine
À la civitas indigène se juxtapose, probablement sous Auguste, un pagus de citoyens romains -et semble-t-il carthaginois- dépendant de la pertica de Carthage, dont les cultes, les lois et les institutions sont celles de la métropole provinciale. Au Ier siècle. Le centre de la ville se dote d’un marché et des premiers édifices religieux(culte impérial, Jupiter Capitolin) ; parallèlement, la récupération et l’officialisation des cultes indigènes (Saturne, Frugifer) préparent l’intégration culturelle. À partir du IIème siècle, les actions des notables dans l’embellissement de Thugga se font de plus en plus ponctuelles ou circonstancielles, de l’obtention et de la confirmation de privilèges et de bienfaits impériaux.
Les cultes officiels et civiques favorisent avant tout la prospérité et la paix sociale, concernant précisément les deux communautés de statuts toujours inégaux : culte de la Concorde, de la Fortune, de Mercure, consécration du temple capitolin. Dans les faits, le pagus et la civitas agissent de plus en plus fréquemment ensemble, le pagus s’ouvre à certains pérégrins d’abord naturalisés dans la civitas, alors que les décisions municipales sont prises par l’uterque ordo qui apparaît au milieu de la période.
En 205, l’égalité totale des droits est obtenue par la création du Municipium Septimium Aurelium Liberum Thugga, commémorée sur l’arc sud-est construit pour la sauvegarde de Septime Sévère et de sa famille. L’activité édilitaire se poursuit à un rythme encore important jusqu’à la promotion coloniale de Gallien en 261, Colonia licinia Septima Aurelia Alexandriana Thuggenses



vendredi 8 juin 2007

jeudi 7 juin 2007

Matmata


Matmata possède une particularité singulière qui attire chaque année des milliers de touristes. C'est simple : Matmata est construite dans les contreforts du Djebel Dahar. Située à six cents mètres de hauteur, Matmata est creusée à flanc de montagne ou dans le sol. Elles servent de décor à la réalisation de films, comme « La Guerre des Etoiles » de l'Américain Georges Lucas, dont quelques scènes ont été réalisées à l'Hotel Sidi Driss.

Hotel Sidi Mansour

Entree





Maison vue du sol


Vue de l'entree



Vue aerienne





samedi 14 avril 2007